La critique est à retrouver dans Culturopoing Le diable se cache dans les détails. Ou comment la suggestion d’un patriarcat « ordinaire » inonde chaque plan de « Good One » en évitant consciencieusement la confrontation, pour appuyer, un peu plus, la violence de…
L’article est à retrouver dans Le Bonbon Nuit Il y a des cartons en salle plus surprenants que d’autres. Avec la vague L’amour ouf (qui pourrait dépasser en fin de carrière les 5 millions), la surprise est double. Tout d’abord car le…
La critique est à retrouver dans Culturopoing Il y a des films qui emportent tout, la raison elle-même, où l’analytique devient dangereusement accessoire, l’émotion envahissant alors l’intransigeante barrière entre une œuvre et l’amour pour elle. Mais n’est-ce pas là que…
L’article est à retrouver dans Le Bonbon Nuit Il aura fallu attendre la toute fin octobre pour venir voir débarquer le tout haut du panier 2024, les trois films qui toucheront le firmament de notre top de fin d’année, la…
La critique est à retrouver sur Culturopoing Il a pourtant mis toutes ses tripes, un projet de plus de 15 ans venu d’un bouquin prêté par Benoit Poelvoorde (« L’amour ouf » de Neville Thompson, 2000), un fantasme, celui de titiller ses…
L’article est à retrouver dans Culturopoing Festival du bling-bling dans la ville la plus chère du monde, un tapis vert en guise de tapis rouge (green washing ?), une constellation de name-dropping pour attirer la foule (et les billets à plus…
L’article est à retrouver dans Le Bonbon Nuit Toujours se méfier de la masse qui gronde, l’uniformité de la critique qui tabasse ou s’extasie en groupe ne signe généralement rien de bon. Dernièrement, le fascinant Emmanuelle de Audrey Diwan, vilipendé pour seule…
La critique est à retrouver dans Culturopoing Pas de round d’observation dans cette chronique adolescente bercée par la violence et le désœuvrement, une violence physique de tout instant, un montage serré qui ne laisse pas un plan sans sa dose…
Les critiques sont à retrouver sur le site du Bonbon Nuit La notion éculée du fameux « film testamentaire » pose une question existentialiste troublante : comment filmer la fin ? Comment filmer sa fin ? A cette profonde interrogation, Spielberg va y répondre avec…
La critique est à retrouver sur Culturopoing.com Une page Word vierge et blanche ouvre « Ma vie, Ma gueule », Agnès (Jaoui) interprète Sophie (Fillières) dans un film testamentaire jonché d’oublis, de regrets éternels, de joies aussi, et d’absurde, l’absurdité de la…