Critique : Athéna de Romain Gavras

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NOTE : 5/20

« Esthétisation de la violence à outrance, clip de pubard opportuniste, Romain Gavras s’effondre dans une recherche quasi existentielle de l’image qui tue, surenchère de plan séquence et de ralenti anachronique pour tenter de combler le vide abyssal d’un propos qui n’existe pas. Athena excite donc bien maladroitement les malvoyants criant au grand film, alors qu’il n’en est que caricature. »

« La caméra n’est jamais à sa place, soit trop proche et insensible, ou trop distance et indifférente, jusqu’au zoom final, point Godwin ridicule du tatouage nazi, en twist bâtard. Déplorable. »