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Note : 12/20
« James Cameron rejoue ses classiques (Terminator, Strange Days, Aliens) avec une guerre antagoniste, l’amour en source de survie, un minimalisme scénaristique pour cueillir l’émotion primitive, simplifier le schéma narratif pour atteindre une certaine universalité. Permettre ainsi d’accéder à l’émotion en schématisant tout les à-côtés (mise en scène, dialogues, écriture des personnages, …) : certains l’applaudiront, je préfère le déplorer. »
« Le temps de filmer sa flore sous-marine d’un sublime irréel, sa grandiose faune, pensante et émotive comme ses gigantesque baleines (les Tulkun) qui par un regard communique leurs sentiments en communion avec les Na’vis (les autochtones de Pandora). Contrairement au idiotes méga-productions Marvel, on ne peut que saluer le message – certes un peu neuneu, mais positif. »