La critique est à retrouver dans son intégralité dans le dernier numéro de Ciné-Feuilles
« Par sa forme anachronique qui interroge, l’Envol prend progressivement le sien par son apologie de la patience (imagée par le travail de minutie du père menuisier) et de la quiétude (par la voix enchanteresse de Juliette), un sentiment d’apaisement nait de la beauté plastique du cadrage et de la photographie, un travail de cinéaste tout autant précis que la sculpture sur bois (dont Raphaël est expert) pour insérer des images d’archives à la fiction, et offrir un rendu spectaculaire d’authenticité et de beauté. »