Critique : L’homme le plus heureux du monde de Teona Strugar Mitevska

La crique est à retrouver dans son intégralité en version papier et numérique du dernier numéro de Ciné-Feuilles.

Note : 11/20

« De l’absurdité de son cadre (un speed-dating dans une immense salle impersonnelle d’un hôtel de Sarajevo) s’immisce les traumatismes du passé (la guerre de Serbie), la haine et la violence surgiront, puis le douloureux chemin du pardon. C’est l’histoire d’une rencontre entre Asja et Zoran, l’une est venue trouver l’amour, l’autre la rédemption. »

« Cette idée de relecture de la guerre civile par l’absurdité d’une rencontre amoureuse aurait pu glisser sauvagement vers une mise en scène osée et disruptive. Malheureusement, l’ennui progresse trop rapidement par une caméra académique, envahissante, qui ne laisse jamais le temps à l’émotion de naitre par un enchainement ininterrompu de scénettes ni drôles ni perspicaces. »